Évolution de l’élégance et du modernisme au travers de la mode

Élégance et modernisme sont étroitement attachés à l’existence de la société, et non plus au sobre étalage sentimental. L’élégance doit-elle sans cesse être regardée à la manière d’un patrimoine génétique de nos antériorités bestiales… Ou à la manière d’une appropriation de l’homme contemporain ?

élégance

Est-ce le penchant du coq se pavanant face à sa poule. Ou le plus haut niveau de la distinction de l’homme contemporain ? Cette interrogation n’existait pas à la période classique. Elle était considérée comme étant une trouvaille de la cour de France à la période de Catherine de Médicis.

Les évolutions du concept de l’élégance

Cependant, les successeurs de Darwin n’ont pas hésité à passer la clôture des genres. À la confronté à de la galanterie qui vient d’une nonchalante maréchaussée des mentalités. L’élégance a la possibilité de également être reliée au développement des genres. On trouve associées en nous, des capacités clairsemées chez quelques bêtes. Illustrations : l’élégance, le bavardage, les façons d’être des volatiles. Tous les penchants du chat, l’excitation des mustangs, les capacités des chiens formés à la chasse, au gardiennage ou de salons. L’élégance de la tête a pu, délibérément ou non, générer la réplique bien connue du berger à la bergère. En tout cas n’est-elle pas en fragmentation avec nos parents le singes. Darwin ne conçoit pas l’élégance tant que telle, cependant, le soin porté à l’apparence extérieure, qu’il remarque chez les « sauvages ». Il est évident qu’ils ont l’amour de l’embellissement… Par les parures, les sac porté en bandoulière, les colliers…

L’utilité des vêtements

Un théoricien philosophique britannique va aller jusqu’à défendre que les habits ont été pensés en premier lieu pour aider la décoration… Et non pour apporter du chaud. Les motifs qu’il y découvre sont antériorité tout de nature communautaire. Bariolages physiques pour se montrer plus épouvantable au cours de la bataille, amputations au nom de dieu, accès sacramentaire à l’adolescence… Cependant, la nécessité de s’embellir, l’orgueil et l’adoration des autres en semblent être les causes les plus courantes. Il remarque aussi que ce sont les bonhommes, et non la gente féminine, qui ressentent le plus fréquemment cette envie. Simplement, pour accentuer leurs natures corporelles innées.

Cette envie de se reconnaitre en avantageant en soi-même les lignes ordinaires à la société communautaire qui nous encercle est ordinaire aux peuples d’Europe et aux primitifs. Les bonhommes habitués à un visage ovoïde, à des lignes uniformes et droites, et aux teintes éclatantes, s’enthousiasment, en tant que peuples d’Europe, pour ces sujets, quand ils sont bien amplifiés.

La mode et l’hérédité

Par surcroît, les hommes familiers d’une figure large, à joues proéminentes, au nez triste, et à l’épiderme sombre, s’enthousiasment de ces natures quand elles sont vivement marquées. Cependant, en arrière-plan de cette distinction qui vient de l’existence de la société… Mais il y a bien une attitude de naissance bestiale attachée à la préférence charnelle. Le privilège de la femme pour les reproducteurs les plus attirants a entrainé, chez les bêtes mineures, l’accroissement d’autres natures intrinsèques aux phallocrates. Ce qui fait qu’il y a des teintes éclatantes et les décorations différentes. Quand les femmes cultivent leurs préférences, elles avantagent les reproducteurs qui montrent de façon visible les indices révélateurs de la masculinité. Nos aïeux n’y ont pas coupé.